Extrait du journal

GICNOUX. Dans cet organe, RIOND s'en prend aux docteurs de son ancien bimensuel. Il les accuse ti’nemnoyer le style « HUMA .. POPU » parce qu’en un article e,n d'esprit, les patrons lyonnais sont pris a partie... niez pivot : « Ramassant leur ventre d une main, leur portefeuille de l'autre, ils (les patrons) se sont précipités dans la bonté. Voulez-vous des chiffres? 560.000 rationnâmes ont reçu des légumes. On a distribue des soupes, beaucoup de soupes. I! y a 400 établissements qui servent des soupes une fois par jour. Cela fait 65.000 soupes. Des torrents sont ainsi reverse sur l’ouvrier... Ecrasés vous cette argumentation sans réplique, nous avons tout bonnement songe a faire enlever au patronat lyonnais une statue en stuc. Par souscription de nos abonnés, naturellement ». Et Georges RIOND de conclure que « ce n’est lias avec telles polémiques que l’on créera le climat de confiance impensable a la collaboration entre patrons, techniciens, riens et employés, dont on se permet de le rappeler ur finir le Maréchal a fait ia réglé essentielle de la critique nouvelle. Tout ce préambule vous est donne pour montrer comment .tend se défendre le patronat « révolutionnaire national » paroles, sauf de trop rares exceptions. Le coup est classique. Style « Huma-Popu », autrement t ct.'X qui s’en servent sont d’affreux marxistes désireux...