Extrait du journal

Mon cher Président, , Je suis désolé que mon éloignement de Paris ne me permette pas d’assister a la commémoration de demain soir, alors que, comme président de la Société des Amis de Zola, j ai si souvent participé à la réunion annuelle de Médan où nous évoquions notre grand disparu. J’aurais voulu rendre, une fois encore un hommage solennel au puissant génie, animateur d’êtres et de foules, à sa pile le pour les souffrances et les peines des hommes, à son amour des humbles a sa soif de justice et à cet invincible optimisme qui s’expriment dans ces Quatre Evangiles que la mort a réduit à trois. Aveugles ceux qui ne voient pas e hen étroit qui rattache l’œuvre d’Emile Zola et son rôle héroïque dans le em" ! ie.mOï’al qUi* V°ici tente ans’ déchira la conscience française;...