Extrait du journal

Des milliers d'admiratrices continuent à célébrer « le culte » de Rudolph Valentino. qu'on appelait l'homme le plus beau du monde. Si l'on en juge d'après les manifestations d'enthousiasme au départ de New-York et à l'arrivée à Londres de Robert Taylor. le jeune premier américain mérite d'être considéré comme un nouveau Valentino. Qui a raison des admiratrices de 1924, qui firent du beau Rudolph leur idole, ou de celles de 1937 qui considèrent le charmant Robert comme un Adonis ? A vous d'en juger....