Extrait du journal

Edinger, ont considéré comme un devoir de faire honneur aux traités conclus antérieurement avec cette maison. Or, il y avait dans le nombre le traité relatif à la version romanesque de la Jour de Nesle. S'ils ont eu le tort, avant de passer à l'exécution,de n'en paspeser les risques juridiques, ils pouvaient prétendre tout au moins aux circonstances atténuantes en arguant de leur bonne foi, de leur probité. Et puis, dès lors qu'on en a fini, pour les journaux, avec la vieille fiction du gérant responsable, pourquoi la maintenir, contre les éditeurs, dans ses conséquences les plus draconiennes ?...