Extrait du journal

mou trouble et en constatant que la mis sive avait été apportée par un exprès. Lisez là... Pendant que ses amis s’approchaient d'une lampe pour prendre connaissance de la lettre de Max. Simone allait à une autre table et traçait en hâte quelques mots au crayon sur un feuillet d’album. — Et la réponse, reprit-elle quand elle eut fini, la voici. Lisez encore. «< Malgré la phrase que vous avez sou lignée, lut Aline, et par laquelle vous pro testez de votre bon vouloir à rester seul enchaîné, votre lettre est une supplique de condamné. Je reprends ma parole, je vous rends la vôtre, ci j’épouse Robert de Talayrac. C’est bien ce que vous vouliez, n’est-ce pas ? A mon tour de dire : Que voire, volonté soit faite ! » M. Lehalllier, le front soucieux, ne dit pas un mot, mais lit un geste et une moue qui exprimait autant de mécontentement, pour le moins, que de surprise. Quant à Aime, e! e saisit le bras de Simone, en lui disant : — Par exemple, tu ne feras pas celai Et, se tournant vers son mari ; — Laiss z nous, Francis. J'ai besoin de lui parler seule à seule ; elle agit avec une hâ e qu; trahit un état périlleux de surex citation ou de folie... Je suis sûre qu’il y a là quelque malentendu, que j’éclair cirai....