Extrait du journal

Et par là aussi, mes souvenirs de collégien ont reflué dans ma mémoire. Je me hâte de dire qu’ils s'y battent, contradictoires. J'y retrouve un culte presque religieux du potache pour le grand Empereur jusqu’à la lecture de Vldolc, puis une fois la pièce de vers célèbre apprise par cœur, presque de la haine pour « le Corse à cheveux plats e, dont le bronze a « grandi sous les pleurs des mères », jusqu’au poing de gamin montré à la Colonne un de mes jours de sortie, avec de vagues idées de déboulonnèrent dix ans avant 1 heure assignée par cet imbécile de Courbet ; j’y démêle une pensée plus précise, celle d’un monôme à diriger avec des camarades jusqu’a domicile du poète des Ïambes en vue de carotter un autographe à ce Barbier qui, aujourd'hui, à mon irrévérencieuse maturité, semble n'avoir pas trop volé son nom....