Extrait du journal

Le troubadour Vidal de Besaudun parle dans une de ses romances des amants qui >e jurent mutuellement de porter manches et аппеаиз: l’un de Vautre. Mais ces livrées adoptées comme signe de la fidélise, servirent en même temps à signaler les inconstances, quand on changeait d’amoureux on changeait aussi de manches. Souvent même hélas ! Celles que l’on prenaient le matin étaient délaissées le soir, il y eut tant d’occasion de dire : C’est une autre paire de manches, que cette expression fut proverbiale....