Extrait du journal

A la demandé de MM. les curés de la Trinïté et de la Madeleine de Ven dôme, le Conseil municipal de cette ville, à l’unanimité moins trois* voix — les trois fossiles de la Loge VEvo lution sociale, — a décidé d’attri buer aux associations diocésaines les fondations qui avaient été dévolues aux anciennes fabriques et dont.les arrérages sont, touchés par le Bureau de .Bienfaisance et l’administration de l'Hospice. Le Conseil, considérant < qu’il r.c. s’agit que d'appliquer une loi, estime que l’usufruit ae ces fondations ayant été recueilli par des œuvre? de bien faisance tant que n’a pas existé un organisme légal, il est logique pour tout esprit non animé du sectarisme, le plus, étroit ou assez mesquin pour risquer d’entreprendre une procédure condamnée à l’avance par une loi, d’acquiescer à cette demande ; que ce n'est du reste que respecter, au nom de la liberté de conscience, la volonté, des morts. Trop longtemps, les « accroupis de Vendôme » ont justifié la flétrissure que leur avait infligée Maurice Bar rés. Félicitons le Conseil municipal de cette ville de chercher à l'effacer. Tout est moins mal qui finit bien...