Extrait du journal

à la Banque d'Angleterre, écrit « On ne doit pas regarde) Henri de Kérilis comme une bête curieuse, mais deux chose: principales doivent être vue * comme exceptionnelles dan: son cas 4 1" Ce gentilhomme avait re çu ces millions de la part d’ui gouvernement autre que celu de son pays, dans un, intérêt qui fut au moins distinct de notre intérêt national ; 2" Cet intérêt de l’étrangei se confondait avec celui de cet te guerre à laquelle Henri de Kérilis nous a poussés de toute son âme. M. de Kérilis nous engageait à dès sacrifices qui lui étaient payés. Il a joué avec autant de ’égèreté pour le moins, que de cmauté. Ce n’est pas peu dire On ne songe pas sans pitié au grand nombre de jeunes gens, surtout de jeunes officiers que le bagout de Kérilis avait attiré vers cette mer de sang, quand il essayait de surprendre leur bonne foi par le sentiment de l’honneur. Ces crimes ont plongé notre pays dans le malheur, mais ils n’ont pas réussi à l’exterminer.» « LE COUP N’EST PAS MORTEL » A ce sujet, le Journal écrit : « La France n’est pas perdue. On ne peut pas dire que le coup n’a pas été dur. Il l’est, mais il n’est pas mortel. Nous sommes encore plus de quarante mil lions d'hommes sur une terre généreuse. Nous n’avons pas le droit de désespérer. »...