Extrait du journal

Si cette question du droit d'accroissement dû par les congrégations religieuses n'est précisément pas commodes à traiter, la faute en ést surtout à l'Administration qui était chargée d'exécuter les lois de 18&0 et de 1884. Elis a montré plus que de la mollesse. Elle a fait preuve de mauvaise volonté. Elle .pouvait, par de simples mesures administratives, venir à bout de bien des difficultés d'application et de perception. Ella ne l'a pas voulu. On dit mieux : on prétend qu'elle a fourni, en sous-main, aux intéressés, toutes les armes nécessaires pour s'insurger contre la loi, et que les nombreux mémoires présentés par les congrégations à tous les degrés de la juridiction civile étaient rédigés par des fonctionnaires très haut placés....