Extrait du journal

11 faudrait, en vertu des contrats, payer les intérêts de la somme qui constituerait l'écart. Cela n'est pas, et si j'avais porté au passif de la France, les millions avancés par la Banque, il aurait fallu en déduire les sommes qui s'y trouvent déposées, qui varient de jour ea jour, mais qui restent plutôt au-dessus des avances. C'était une addition d'un côté et une soustraction de l'autre : les deux opérations s'anuulent sensiblement. Quant aux dix millions d'avances relatifs au rachat des téléphones, je les ai rayés de mon compte, après les y avoir portés, quand je me suis assuré que le prêt effectif était postérieur au i«" janvier 1890, date à laquelle j'établissais le total de la dette nationale....