Extrait du journal

'Alors que le cambrioleur est obligé, par devoir professionnel, de passer tout l'été à Paris, de monter des tas d’étages par les plus fortes chaleurs, de passer des heures dans des maisons désertes où il n y a seulement personne pour lui porter secours et lui faire chauffer une tasse de thé s'il se trouvait subitement malade (sans compter que certains cambrioleurs impressionnables peuvent redouter l’obscurité et les revenants), le sort du rat d'hôtel apparaît comme le plus beau, le plus digne d'envie....