Extrait du journal

le Gonvei*nemPnt pour les lignes déclarées d’utilité publique ; et, d’autre part, les subventions prévues pour les chemins votés par les départements et non encore défictivement concédés, et qui atteignent un chiffre plus élevé encore, absorbent pour une assez longue période les crédits pouvant être annuellement portés , avec cette destination, au budget des travaux publics. C’est donc uniquement, pour des concessions demandées sans subvention, ou avec des subventions qui ne seraient fournies que par les départements ou les communes, qu’un vote pourrait utilement intervenir. Mais, même pour ces chemins, M. le ministre croit devoir faire un appel à la prudence des conseils généraux : il insiste avec infiniment de raison sur la nécessité de ne pas demander au capital national un effort qui dépasserait ses forces....