Extrait du journal

Cessez donc, cessons donc tous île faucher au nombre d s problèmes menaçants la résurrection (. la Pologne ! La malheureuse Pologne a rendu en I SOT son dernier soupir en laissant aveuglement échapper" Toreâsîôn suprême qui lui a été offerte en 180J par le marquis de Wielopoxxlski. Au lieu de se soulever contre lu domination moscovite, ce qu’il fallait que fit la Pologne, à celte époque, c'était jouer le jeu, c était acclamer lu Russie alun dcrn-oiislituer àtoutpi ive avant tout l’unité polonaise, par la réunion dans les mains d’une seule puissance, du royaume de Pologne de la Callirie et de la Posnanie. Alors, les circonstances aidant . le surplus eut pu -e L ire, car I immense désavantage de la Pologne de n avoir pas de dynastie nationale . d’obstacle 'fut devenu moyen , attendu apte ce désavantage eut eu l’avantage de rendre plus lac île à nouer entre l’empire de Russie et le royaume de Pologne, les liens d’une solide et sincère Vnion |tersonuelii*. Mais ce qui est consommé est consommé. Il y a des taules irréparables. Celle qui ;t été commise eu IMOT est de ce nombre, et les derniers événements qui initient « e s’accomplir en Allemagne ne sauraient plu-, laisser subsister à vet égard la pin-, pelle le illusion, à moins de n avoir des veux que pour n*- pas voir, cl des oreilles que pu n ne pus entendre, fhi il ne imam donc plus question de lu Pologne que dans l'histoire, cd immense cimetière, et que pour aller tléj>o«cr de» (leurs sur sa tombe !...