Extrait du journal

La France meurt du chancre juif. C’est mon opinion, c’est l’opinion des amis de plus en plus nombreux qui se sont groupés autour _de nous. On avouera bien que nous n’avons au cune raison de changer d’opinion puisque les faits se chargent de dé montrer chaque jour à quel point nous avons raison. Cette affaire de l’Union Générale, que j’évoquais la semaine dernière dans sa saisissante réalité, et à propos de laquelle j’ai reçu tant de lettres, permet d’étudier, en quelque sorte sur le vif, le processus de la maladie juive, les étapes, les stades, comme parlent les Scientifiques, du mouvement qui s’est accompli. En 1883, les Juifs ont dépouillé les gens d’un certain monde, les gens re lativement cossus ; ils ont vidé les bas de soie. De 188A à 1888, les Juifs ont déva lisé, avec le Panama, les petits épar gnâtes, les pauvres diables qui avaient travaillé toute leur vie pour économi ser un modeste pécule : ils ont vidé les bas de laine. Maintenant que les Juifs ont fait acheter à de hauts cours par l’Etat pour les Caisses d’épargne la rente qu’ils s’étaient procurée à bon compte par les syndicats au moment des em prunts, ils vont mettre sur la paille ceux qui, en fait de bas, n’avaient qu’une tirelire. La guerre, imposée par les grands Juifs de Londres aux Anglais, qui n’en ont qu’une médiocre envie, est la con clusion logique du programme que les Juifs se sont tracé dès 1870, au mo ment où ils ont fait de la France leur proie. C’est la liquidation naturelle et obligatoire de la situation. Comme dirait Brisson, qui aime à parler la tin : « Finis coronat opus. » Quand on demande des comptes aux commerçants juifs d’Algérie ils déposent leur bilan, c’est-à-dire un grimoire écrit en caractères hé braïques et auquel personne ne com prend rien. Les Juifs de France sont plus har dis. Dès qu’ils ont vu que l’Antisémi tisme était une réalité et qu’on se préparait a mettre le nez dans leurs affaires, ils ont commencé à flanquer le feu à la maison et ils ont organisé le « chambardement général », selon le mot de Reinach, qui restera comme un mot historique. Avant de nous lancer dans la guerre les scélérats ont eu bien soin de dé courager d’avance l’armée qui aurait pu nous défendre et d’inonder le pays de journaux où l’on affirmait que nos généraux étaient tous des misérables et des faussaires. Nos amis de la Ligue, qui sont habi tués à réfléchir et à regarder le Juif de près, voient cette manœuvre dis tinctement Pouvons-nous exiger que tous ceux qui ont signé, tous ceux qui se préparent à signer le manifeste de la Ligue de la Patrie aient cette clair voyance, cette sûreté d’analyse ? A ceux mêmes — et ils sont plus nom breux qu’on ne le croit — qui dans cette Ligue voient les choses comme nous, pouvons-nous même demander de faire abstraction de leurs préjugés d’éducation, de leurs attaches mon daines, de leurs relations antérieures? Nous ne songeons pas une minute à élever une telle prétention. Nous nous contentons de louer ces braves gens d’agir en bons Français et d’opposer une protestation formidable à cette ignoble campagne dans laquelle des membres de l’Université n’avaient pas honte, en haine de l’armée, de se faire les alliés des Anarchistes. Les listes de la Ligue de la Patrie commencent à peine à circuler, je crois cependant que si on comparait 'Jjes noms, ieg célébrités^ tes mérites...