Extrait du journal

ncr un criminel à avoir une jambe sciée en deux ou trois morceaux, où à perdre un œil et une oreille. On trancherait notamment les deux bras au révolutionnaire Gustave Hervé, de façon à lui interdire à jamais d’écrire des articles dans la Guerre Sociale. Ce système de répression serait à étudier, et Mou lay-Hafid, qui sy connaît, nous fournirait sur cette matière des indications précieuses. Car, comme il le faisait observer à ceux qui lui reprochaient sa férocité, il est moins cruel de laisser vivre un coupable en lui retranchant un pied ou une main, que de le tuer en lui tranchant la tête....