Extrait du journal

loin s. descendit avant 9 heures par un puits voisin. Les premières nouvelles par vernies furent : « Tout est fini ; il n y a plus d’espoir. » Néanmoins les sauveteurs poussaient énergiquement en avant. Un peu avant 11 heures, ils commençaient à trouver successivement plusieurs groupes de mi neurs blottis dans la partie de la mine où la ventilation était rc-tvc suffisante. Le travail fut conduit avec tant de cou rage et de vigueur yue peu après onze heures. 327 hommes avaient été ramenés à la surface. On remonta ensuite »ix cadavres. Enfin on reprit quelque espoir. Les femmes qui sanglotaient, les entants qui pleuraient aux abords du puits virent que les mort» ^'appartenaient pu* à leurs familles .et puis ! in avait il pas 327 hommes de *nu\ s y I Mais beaucoup de vos derniers étaient dans j un triste i-lat : quelques-uns étaient à demi ! asphyxiés, d'autres horriblement brûlés, j De plus le» mauvaises nouvelles recoin mencèrent a circuler. Le grisou rendait difficile la lâche de* sauveteurs et l’incendie faisait rage. Ce furent des scènes navrantes parmi le* i milliers de gens qui attendaient toujours leurs parents à l’entrée de la mine, i "e-t uin*i qu'une femme jetant les veux sur un 1 brancard s'écria : « C'est mon père ». et tomba évanouie....