Extrait du journal

IX [Suite.) LA MORT D’UN ANONYME un homme était couché contre le lion géant, les jambes étendues, le dos appuyé au piédestal les bras ballants, traînant à terre sans force. Cet homme, avec les vêtements du pauvre, avait les cheveux blancs du vieillard. C’était Bob, lo vieux Bob, a bout d’efforts et do fatigue, et qui s’arrêtait là, attirant à lui l’attention de ce passant, comme la nuit où il avait lui-même ramassé Geneviève au bord de la Ta aise. Il y avait longtemps déjà que Bob était là, 60 disant »...