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Extrait du journal
Une vieille tradition a imposé à nos Universités, comme à celles de l’étranger, l’habitude de n’avoir en vue, dans l’étude des littératures, que certaines époques, certaines productions des temps passés. Si nous cherchions à expliquer cette anomalie — car c’en est une — nous y découvririons les restes de cette croyance générale, qui enfermait autrefois toute la vérité et la perfection des manifestations de l’esprit humain en « une époque d’or », que les intelligences naïves se plaisaient à envelopper d’une auréole poétique. A cette cause vient s’en ajouter une autre pour appuyer fortement ce préjugé. L’esprit moderne s e^t formé en grande partie sous l’égide du culte suprême pour l’antiquité gréco-romaine. Lorsque, il y a quelques siècles, on s’ingénia à poser les fondements d’une nouvelle vie intellectuelle et lorsqu’on CI*éa les institutions de culture qui donnèrent naissance aux universités...Espace abonnés
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