Extrait du journal

A TOUS LES HOMMES DÉVOUÉS AU PAYS. Il n’est pas de pouvoir qui ne penche vers l'envahissement, ou par entraînement involontaire, ou par tendance d’esprit : c’est donc un devoir pour les vrais citoyens de se tenir cons tamment sur la brèche afin de s’opposer à tout excès dange reux. Nous nous hâtons de déclarer aux hommes indépendant, députés et écrivains, que les colonnes de notre journal sont ouvertes dès à présent à la manifestation de ions les sentnnens généreux et de toutes les idées utiles qui voudraient se produire dans les circonstances si graves où se trouve le pays, et accepter notre devise : tout pour la frange et par l’as semblée NATIONALE....