Extrait du journal

Quelques uns de nos collaborateurs nous boudent parfois et vont mime jusqu'à nous menacer de nous quitter parce que quelques lignes de leurs communiques ne paraissent pas dans nos colonnes. Nous avons e.rfliqua à plusieurs reprises que nous nous troublons quelquefois dans l'obligation, pour boucher une page, lie faire sauter quelques lignes, mais nous avons toujours ajouté que la parution de celles-ci n ‘était que retardée à la semaine suivante, nous engageant. si par hasard la suppression devait devenir définitive, à écrire une lettre personnelle ù l’auteur de la communication....