Extrait du journal

pour effet, à en croire ces annonciateurs de - les hommes ». C’est bien en vain qu’on 01 eue société, atteinte dans sa la bonne nouvelle, d amener une forai- a voulu prétendre de la démocratie telle) °,ne’ ,ns ®on influence, dans sou son de belles œuvres.. Sans doute ce j surtout que nous l’entendons, qu’elle entaHfrité elle-même, s efface, tout s’en qu’on nous montre n’est pas encore de n’était pas la vulgarité ; en réalité elle ! 1 essent L artiste, qu on le veuille ou non, nature à nous enthousiasmer, mais les n’est que cela. Si, domine on l’a dit, la ^ un aristocrate qui s accommode mal croyants des nouveaux dogmes nous as- démocratie coule aujourd'hui hui à pleins ue vulgarité. Mais tout se lient, et dans surent qu il y a eu matière artistique, bords, elle roule avec elle cette incroyable comme dans certaines ascensions tristi- vulgarité que nous rencontrons partout. Mues de l’âme, une période purgative, où. au Parlement, dans les hauts emplois,’ 1 intellectuel, quel que soit son domaine, ! dans le monde politique, dans la Presse, doit briser tous ses liens, toutes les ci- dans la littérature et dans l’art. Le cilles formules, se délivrer des restes d’un manque de tenue est général. Il...