Extrait du journal

Ses compagnons le curent perdu. Toby Denneyson, cerf* rhum ««•<•» icos> ouï- ( — L’œil au guet ! leur cria le vieux Holvalsions de l’agonie. Après s’être débattu ter en saisissant son fusil. Regardez bien avec une violence épouvantable au milieu • autour du capitaine, et tirez sur chaque tête des ondes qu’il faisait jaillir sous ses bonds M «.a» ai» i..: furieux, il finit par succomber. Son corps inanimé flotta bientôt au gré du courant. Malheureusement pour les chasseurs, le gigantesque cadavre, au lieu de venir de leur côté, fut entraîné vers l’îlot dont nous venons de parler. Poussé par le courant, l’hippopotame s’échoua sur le sable, de telle façon qu’une moitié seulement de son corps | reposait sur l'îlot et que l’autre restait encore battue par le flot. Il était important de s’assurer de cette magnifique pièce de gibier. Gomment y parvenir? Les chasseurs se consultèrent. On convint de fabriquer à la hâte - une sorte du radeau afin de traverser le Mo■ loupa et d’arriver à l’hippopotame. Chacun i so mit à l’œuvre. H était important de sc . hâter, en effet, car on craignait que le cou- opens. Dennyson sc retourna ver ses agrès•! rimât n’emportât de nouveau l'animal et ne le soeurs. (A suivre.^...