Extrait du journal

D f. Paris. J entends leurs menaces , je vois leur fureur, f je ( ou no, s leurs projets, et je demeure tranquille. Je pouvoir leur échappe, et nulle puissance au monde ne peut le leur restituer. Tous leurs ils se rompent successivement,ious leurs rassois eussent. Aucune de leurs manoeuvres ne réussit, l a division est dans leur camp ; le délite dans leurs conseils; le désespoir dans leurs • cuis. Aussi voyez ! les adresses de* patriotes de Toulouse, de Ncvers , de Marseille , arrivent, et vont se perdre dans les ruisseaux. Les pétitions du Ba, Ru in sont démenties par Ceux là mêmes qui sont censés les avoir souscrites ; jean Dcbry appelle vain sur la tore des journalistes , le mépris qui pose sur la sienne ; les petits conciliabules et les grands dîners ; les Itères moustaches , et les sales hou pclatidcs ; tout resurgît , rien n’y fait, l e tirage, aura lieu. 1...