Extrait du journal

marin trouva naturellement qu'il était beau coup plus fatigant de faire du chemin if. terre avec ses propres jambe?, que de se frayer une route sur les eaux avec les voi les et le gouvernail, e quoiqu'il prît le soin de courir des boraees a droite et a gauche pour éviter les pierres coupantes, comme il aurait fait à la mer pour avancer malgré les vents contraire . il trouva bien tôt que la bésogne était tr op rude pour lui. — Vous saurez, mon maître, dit-il tout-acoup, que c'est là.ce que j'appelle marcher contre le vent avec un roulis très fatigant. Tantôt nous descendons le courant; tantôt nous remontons contre la marée; je ne sais lequel des deux convient le mieux à nies jambes: Aussi je vous avertis* que je vais jeter l'ancre, sans autre raisonnement.—En disant ces mots, il se laissa tomber sur la" pierré/la plus unie qu'il pût trouver. —•Camarade, répondit Mark Brandon, j'ai eu tort, je le vois, de vous proposer de venir avec moi; j'aurais dû comprendre" que vous êtes plus accoutumé à marcher sur le pont d'un navire, que sur les pentes de ces collines; quant à moi, j'ai l'habitu de de les parcourir. Nous pôuvons toujours atteindre notre but ; je me chargerai de voir combien il y a de naturels au bas deveette colline. Nous avons eu quelques difficultés ensemble; mais, dans cette circonstance,...