Extrait du journal

.Ah! que j'ai souvent désiré être e comme vous un bibliothécaire.vivantdans sabibliûlhèquecommeuncloportedanssa. Doutre, mais une poutre éclairée par ce qui éclairerait même l'intérieur d'une poutre, l'amour des choses intellectuelles, l'étude, le calme, le recueillement Ah que j'ai envie d'être comme vous un grand poète, qui passé dans la vie entre son rêve et sa pensée, un bénédictin intérieur qui n'a son froc que sur l'esprit et qui travaille au sein de ces livres dont il est l'usufruitier, comme une abeille dans sa maison d'or. Comme j'aurais donné pour tout cela pour ni'ajuster à tout cela les turbulences, les agitations, les ardentes indigences de nui vie! Ah mon cher Trébutien, comment s'y prend-on pour être calme, pour. ricvivre*queparrespritpur, et mettre tous les intérêts de son être entre les deux feuilles du vélin des Uvres, comme on y met une rose qui y sèche un peu, c'est vrai, mais qui y devient immortelle. La vie dont je vis m'est odieuse et je ne saurais m'en passer. Je ressemble à ces terribles ivrognes, à ces avaleurs de feu, qui savent-que les alcools les consument et qui continuent de boire. A une certaine profondeur dans les sensations, boire n'étanche plus la soif, mais la creuse et ^éternise et cela est vrai sans qu'il soit question de boire ce que je vous dis là....