Extrait du journal

Le Gallois, se souvenant de sa souche ancienne et vaillante, prend les semaines pour les ans < t s’exprime en ces termes : J'ai passé la centaine et vivrai deux mille ans! M< s pieds éperonnés ne sont pas chancelants: Regarde donc, est elle assez rouge, ma crête? J’ai le coquelicot du zouave sur la tête ; Je marche, comme lui, carrément, vaillamment, A ne pas reculer devant un régiment. Je ne vais plus grattant quelque, fumier immonde, Je chante à pleine voix sur la reine du monde. F.t comme l’aigle allier, cet oiseau sans pareil, Mon œil prend des éclairs au foyer du soleil. Des ongles et du bec je ferai des zébrâtes Sur la peau des crétins, des sales créatures Qui cachent sous un masque ardent, enluminé, Les rides que vous fait an cœur ratatiné. Pas de grâce aux méchants, pas de grâce aux reptiles! Je veux exterminer les races inutiles. Confiant dans ma force et mon honnêteté, Je lèverai toujours la tète avec fierté!...