Extrait du journal

La poussière et la chaleur des rues de Paris ne sont pas davantage, — quoique fort désagréables, — les causes déterminantes de cette fuite. D'autres villes en ont plus encore à offrir, en été, à leurs habitants qui cependant leur demeurent fidèles. J'ai montré une autre fois que si l'on voulait, il serait aisé de transformer Paris en une ville de saison estitale en utilisant les bords de la Seine et le grand fleuve d'air pur qu'elle charrie autour d'elle. Mais personne ne s'en soucie sérieusement parce que l'attention n'est pas orientée vers cet inconvéûient des villes, qui disparaîtra quand on le voudra. Si tout l'argent dépensé pour faciliter les trop courts voyages des peu fortunés et des enfants était em-...