Extrait du journal

Vous n’avez plus à craindre d’être asphyxié par l’odeur de moisi qui s’exhalait jadis de ces aimables lieux, non pins que par l’odeur de charcuterie ou de fromage qui prenait le client à la gorge lorsqu’il pénétrait dans ces repaires. Oh ! que non 1 Messieurs les clercs ne déjeunent plus à l’étude, et d’ailleurs la plupart sont des jeunes gens aisés, élégants, instruits, ayant passé leur licence et n’attendant qa’uneoccasion favorable pour traiter. Le stage indispensable qu’ils font est jouit et peu sérieux....