Extrait du journal

Sur les stalles- oflags et /commandos planait et plane le silence le plus digne et le plus fécond Le visage de la France des camps, cette lace sainte et torturée de la patrie violée, se referme Devant elle, les ténèbres d* l Allemagne qui s'affole et se replie dans le sang et la boue inutiles Mais le visage scellé fre garde une clarté profonde, intérieure. jamais souillée, jamais surprise. Il écoute dans son silence un chant exaltant et pur. un hymne : a union et de for *.» qui balaiera les nflrnses et brisera les of' noceurs....