PRÉCÉDENT

Le Petit Journal, 13 novembre 1863

SUIVANT

URL invalide

Le Petit Journal
13 novembre 1863


Extrait du journal

L'abandon de cette 'femme, que j'aimais avec violence, me plongea tiaus la désolation. » Fendant les six mois de mon bonheur, je n'avais pas eu une seule pensée pour Marianne. Malheureux, je me souvins d'elle. Héhisl je la trouvai mourante.- La douleur de ne plus m'avoir près d'elle l'avait tuée; lorsqu'elle m'aperçut, elle parut i e^irendro quelque force et me dit sans colore a 0 mon cher maître, je souhaite que vous viviez heureux, mais. c'est une chose bien infâme que l'ingratitude! 3 Moi, je suis moins à plairplre que vous, car il » y a un grand bonheur dans l'accomplisses ment du devoir. «Ayant ainsi parlé., elfe essaya de me bénir, mais les forces lui manquèIci Je vieux Simon essuya quelques larmes, et il continu»:...

À propos

Fondé en 1863 par Moïse Polydore Millaud, Le Petit Journal était un quotidien parisien républicain et conservateur parmi les plus populaires sous la troisième République. Le journal jouit vite d’un succès commercial sans précédent, renforcé par la publication de divers suppléments, parmi lesquels son célèbre « supplément du dimanche » ou encore Le Petit Journal illustré. La publication s’achève à l’orée de l’année 1944.

En savoir plus
Données de classification
  • ballu
  • van ostade
  • louis napoléon
  • kand
  • paris
  • martinique
  • vendôme
  • antin
  • marseille
  • caen
  • france
  • iu
  • grand hôtel