Extrait du journal

* Pour la musique Frappés d'une augmentation de taxe par l'Assistance publique, les brasseries, cafés, restaurants et autres - établissements pourvus d'orchestre où l'on paie pour consommer, mais où l'on, ne paie pas pour entrer, menacent de mette a let porte leurs musiciens. Tout le mon de-yperdra, J) compris •l'Assistance, et surtout les pauvres instrumentistes qui n'en peuvent mais. , . . , C'est le conflit de l'année dernière qui re commence, et,.cela, est bien, fâcheux, d'abord parce que-le dommage le plus lourd va retom ber sur: les épaules des plus faibles ; et aussi parce que cette grève supprimera le peu de joie que > les flonflons des orchestres faisaient encore flotter dans l'air. Elles ne sont pas déjà si gaies, nos rues remplies d'autobus, de camions et de taxis, nos rues où les passants affairés se bousculent le long des étalages qu'ils ne prennent même plus le temps de regarder, nos rues où s'inscrivent partout en chiffres obsédants et en jargon négro-jaoano- américain, les symboles de la Vie...