Extrait du journal

Tout ce que j'avais vu, depuis cinq heures que durait cette visite, dans la plus grande fabrique d'automobiles du monde, se brouillait dans ma mémoire. Des étendues de halls qu'on n'a plus l'espoir de voir finir, peuplées d'hommes que l'œil ne parvient plus très bien à distinguer des machines tant leur automatisme est réglé « au poil par des ingénieurs spéciaux qui observent et corrigent pour gagner du temps les mouvements de la tête, du torse, des mains. Tant de choses diverses, dans ces rythmes combinés de l'usine, depuis la bave incendiaire des fonderies 1...