Extrait du journal

en une valeur de 1.800,000 fr. qui furent, néanmoins, acquitté sans broncher. On y admirait encore comme une exception unique dans lin pays musulman où la représentation de la figure humaine est interdite aux peintres, deux beaux portraits en pied «le Mehéiuct-All et de son fils Ibrahim Pacha b* grand père du chétive actuel. C« dernier portrait avait été peint par Horace \<*rnet, pendant le dernier séjour «lu prince égyptien en France, vers 1840. Toutes ces salles recelaient des fortunes «le tapissier un lu soie des divans voulant le long des murs, le brocard des rideaux cl des portières. — il n’y avait pas de porte», riva lisaient d’éclat et de couleurs chatoyantes. Sur les murs et aux plafonds les stucs, les mosaïques, surchargés des arabesques les plus compliquées se livraient aux capricieux écarts des ornemanistes arabes ou fuir liens occupés toute l’année aux réfections du palais. Leur* œuvres éphémères conscomment rongées par l'action corrosive «le la mer, réclamaient des reprises continuelles alors même que le caprice d’un maire blasé no leur demandait pas le badigeontige «lu tout pour recommencer sur «te nouveaux frais....