Extrait du journal

Qu'il y ait là — comme l’écrit le Temps en se voilant la face— « une révolution d’une portée incalculable », ce n’est pas nous qui y contredirons. Ce qui est certain, c’est que, si inférieur qu'il soit au minimum légal des salaires que revendique l'art. 3 du programme électoral de notre parti ouvrier et qui devrait être « déterminé chaque année d’après le prix local des denrées par une commission de statistique ouvrière », le dodus vivent réclamé par les canuts peut seul garantir la bouchée de pain ouvrière contre les rogneras frauduleuses des employeurs....