Extrait du journal

A propos de la pièce nouvelle de M. Vic torien Sardou, /'Affaire des Poisons, on a raconté que le maitre avait une femme de chambre exceptionnelle, du nom de Francine, à qui il ne manquait pas de lire, avant tout autre, ce qu'il écrivait de nouveau. Cette Francine est une brave filin du peuple, dont le goût est simple, mais sûr. Celle nouvelle a fait sourire un certain nombre de gens sur le boulevard. — Vieux jeu. cette lecture ! C'était bon du temps de Molière ! Une enquête s'imposait, une enquête sé vère : A qui nos auteurs bien parisiens donnent-ils la primeur de leurs œuvres ?...