Extrait du journal

stne de production. La seule pensée de ne pas se présenter aux petits comme aux grands Salons- avec les œuvres nouvelles, les fait frémir. El puis, la vérité c’est qu’à ces passionnés de la nature, il a manqué comme à nous ce contact de tous les jours, promCnades à travers bois, ascensions de montagnes où l’on découvre les grandes perspectives, fréquentation quotidienne de la mer pour étudier ses physionomies si variées, si changeantes. Le paysagiste n’est plus dans son élément, dès qu’il quitte le plein air. Et ce serait une curieuse enquête à faire que celle de recueillir toutes les im pressions de nos principaux maîtres sur leurs excursions manquées. La besogne est tentante. — Furetières....