Extrait du journal

'croyez bien qu'au point où en sont les choses, M. Lloyd George n'est pas mécontent de cette solution. Il sent bien qu'ane coopération gouvernementale avec les Soviets est, dans l'état actuel de l'opinion mondiale, totalement impossible. Mais il compte que les trafiquants anglais, secrètement soutenus par lui, se montreront plus roublards que les autres et que finalement c'est la Royal Dutch qui, en dépit des protestations de la France, de la Belgique et des Etats-Unis, accaparera le gros morceau des concessions pétrolifères russes....