Extrait du journal

On le voit : c'était la totalité de la politique françaiSe, passée en revue par un homme politique exclusivement préoccupé de nous témoigner son hostilité, en même temps qu'il affichait sa bienveillance pour l'Allemagne. Faut-il s'en étonner? Tant qu'on sentait la présence de M. Poincaré, nos ennemis mâtés prudemment mettaient une sourdine à leur incurable 'jalousie à notre égard. Mais du jour où on a eu l'espoir d'être débarrassé de lui, tout ce qu'il y avait de rancune contenue au cœur de ces implacables adversaires, a fait explosion. ','.,...