Extrait du journal

marchés qui leur sont indispensables, et les Français, qui ne peuvent renoncer à être indemnisés de leurs pertes sans aller à la ruine, l’opposition est com plète. Dans cette circonstance, les plus beaux discours, même ceux de M. Briand, ne suffisent à rien arranger. Des actes seuls peuvent ramener l’accord nécessaire. Pour cela, M. Briand, dont la politique a fait lamentablement faillite, ne peut être l’homme indiqué. Il en faut un autre, M. Poincaré, s’il semble le meilleur ; un autre, s’il semble plus capable. Mais il ne faut pas tarder plus long temps. Nous sommes à un « mauvais moment ». Les hésitations et les fausses manœuvres auraient de graves consé quences et coûteraient trop cher au pays. Maxime de Montbron....