Extrait du journal

I>. - calvaires très fustes, mais admirablement touchants, en raison de 1 ing, muté de leur Christ sculpté en creux ou vu relief, avoisinent, en effet, le plus singulièrement du monde, de grossiers et impudiques menhirs érigés insolerdînent cyniques sous le ciel breton vinélan^'lique et bas. Mais ces vieilles pierres, toutes, sacrées ou plus que profan■ s. sont, quelles qu’elles soient, lin des grands charmes de ce pays de légendes. Surgissant, réconforta n tes ou farouches, de. l'intense floraison d’or d'S ajoncs et des genêts, elles marquent airai. à travers le recul des temps, les étapes de la lutte victorieuse du christianisme, aux premiers âges de la Bretagne, contre le druidesse sanguinaire, jadis, partout, ici, avant lui, triomphant. Pourquoi je suis venu en Cornouaille...