Extrait du journal

si l’on peut dire — est qu’elles ne énasent rien ni personne... pas mime s amis politiques du sanitaire. Qu’on en juge : « Ce n’est pas par la violence et la totalité que les démocraties forgeront ar destin, écrit l’ancien administrateur i Populaire, qui précise même : « La terre civile et la dictature de droite ou • gauche ne peuvent être pour les peues que génératrices de misères, de surétude ou de barbarie. » Pour n’être pas nouvelles, ces vérités it aujourd’hui, du fait de celui qui les rit, la valeur d’un avertissement. Venant d’un de ses anciens chefs, le irai socialiste peut et doit en comprenne toute la sagesse, fruit de 1 expieencens. et peut-être de la déception. Mais ce n’est là qu’une sorte de préce aux critiques que M. Compèreoral fait si justement à notre régime parlementaire, archaïque et surine, a stabilité ministérielle, aux méthodes - travail parlementaire, a la paperassee administrative, etc. Bref, il y a làsedans tout ce qu’il faut pour constiper un programme... un programme îi n’aurait d’ailleurs rien de partic.trament marxiste. Répudiant la pionce d’où qu’elle vienne, estimant la gerbé comme le souverain bien et metnt toute son action dans des réformes crèmes et immédiates, ce programme irait être adopté par tous les nomes de bonne volonté qui se rendent inepte qu’il faut que « ça change ». Le parti radical, qui par essence est forcisse, peut avec raison en revendbuer la paternité. L’adhésion batterie que lui apporte aujourd’hui M. unpère-Morel n’est pas pour nous déaire ; elle prouve de façon éclatante l’il y a entre tous les républicains une ange communauté de vues et d’aspirions. On comprend d’autant moins, ors, qu’il y ait si peu d’accord lorsl’il s’agit de passer aux réalisations. Est-ce uniquement la faute des pari ? L’inaction ne vient-elle pas autant s opposition de personnes que des bopimitions de doctrines. Car, en lin de apte, on ne réforme rien. L action : dépasse pas le verbe. C est peu de s courir sur les remèdes à appliquer rand chaque jour le mal s’accroît. La inique, aussi judicieuse et aussi justice soit-elle, prend bientôt l’allure d une tentation si aucun geste ne vient la niquer. Il y a des années, par exemple, que ,n réclame le vote personnel a la ïambe. Il y a des années que Ion digne de voir des loi adoptées par s banquettes vides. Il y a des années te l’on demande ce minimum de proté à ceux qui ont reçu mandat de nous présenter. La quasi-unanimite des alimentaires que vous interrogez seriment, sans distinction de parti, est accord pour faire cesser au plus tôt...