Extrait du journal

Il a été établi qu’il n’y a eu aucune provocation de la part des zouaves. Le zouave tué était arrivé depuis quinze jours au régiment et venait d’acheter un paquet de tabac. Les autres ont été assaillis un à un, tandis qu’ils remontaient à leur caserne. Si les officiers n’avaientpas eu assez d’influence sur leurs hommes pour empêcher de venger leurs camarades, il aurait pu y avoir des représailles terribles. Les six cents zouaves du fort n’auraient fait qu’une bouchée des cent cinquante indigènes....