Extrait du journal

REVUE POLITIQUE. Notre correspondance de Paris nous fait connaître aujourd’hui que les classes ouvrières si calmes, si indifférentes, si apathiques même, depuis quelque temps, pour les questions politiques’, commencent à se réveiller et à sortir de cette léthargie, au contact des incidents de ces derniers jours et des luttes ardentes de la presse. Elles sont paisibles encore, mais elles ne sont plus indifférentes, et F Assemblée, à son retour, les retrouvera tontes prêles à se passionner de nouveau au retentissement des discussions parlementaires....