Extrait du journal

Certes on ne saurait demander aux petits cultivateurs, qui ont besoin de tous les bras disponibles, de se priver, au printemps et à la saison des récoltes de la collaboration de leurs enfants adultes, et on ne saurait nier que le meilleur apprentissage soit précisément celui qui se fait sous la direction du père ou du frère aîné ; l’accomplissement de travaux qu’on aurait tort de vouloir enseigner entre quatre murs, comme par exemple, l’art de semer, de faucher, de soigner les animaux de la basse-cour, de l’écurie ou de l’étable....