Extrait du journal

J'en reviens à mon divorceur. Ne faut-il pas qu'il soit bien sûr de soi ? On a, vu des ménages brouillés qui se réconciliaient au moment même où les deux avoués rivaux demandaient la même provision. Le jour où les'époux auront à effectuer un premier versement, ils tomberont dans les bras l'un de l'autre. Cet homme d'affaires, dont l'offre paraît d'abord un peu immorale, n'est peutêtre, au fond, qu'un défenseur de la famille et du foyer. Tant que le divorce n'est pas prononcé, on ne lui doit rien ; nombre d'époux rentrent dans l'enfer du ménage...