Extrait du journal

mieux. Le bon M. de Ehàleeltbriaiul était presque le seul qui la défendit eu conscience ; entore ne niait-il pas le danger- de sa puissance, mais il comptait sur sa propre force pour en disposer. Ou se rappelé avec quelle naïveté de poète il disait un jour à la chambre des pairs : » Qu'une nouvelle révolution vienne fondre sur p la France ; que nos Bourbons soient rejetés . sur la terre d’exil, mais qu'on me laisse la „ liberté de la presse ; avant «m an , ma plume • aura ramené nos princes, les aura rendus à . l’amour du pays, ....