Extrait du journal

Un peuple qui n'aurait pas d’église, de prières communes, de Jilhurgie consacrée , finirait, et cela bien promptement, par n’avoir ni culte, ni religion , ni croyances. De même une nation ou un parti qui n’a plus ni assemblées publiques, ni presse, ni réunions sociales, où on professe un principe commun, où on reconnaisse un symbole politique, aura bientôt passé des divisions aux subdivisions et des subdivisions à l’individualisme. Or cet individualisme n’est autre chose que l’athéisme politique, que l'absolue négation de tout principe gouvernemental et de tout sentiment de i.aliona-...