Extrait du journal

oui a nourri dans ses lianes le christianisme, comme une hérésie, de leur- accorder dans l’Etat une place à côté de l’Eglise catholique, apostolique et romaine. On a beau dire à ces privilégiés que les temps > ont changés,qu’aux charges del'Etat et aux devoirs civiques prennent part des hommes qui, pour ne pas confesser l’Evangile, n’en sont pas moins des sujets fidèles et loyaux, et que la religion qu’ils professent a droit à d’autres égards que ceux que comportait leur avilissement antérieur: un tel sacrifice au courant du jour et au progrès des idées leur paraît au-dessus de leurs forces, nous dirions môme — si’nous craignions de les blesser — au-dessus de leur entendement....