Extrait du journal

En ce chef-lieu de canton auvergnat, deux cents français s’appliquèrent, quatre jours durant, à trouver le meilleur moyen de « sortir du tunnel » selon l’expression d’Estebe. On y situa la communauté et le mouvement communautaire. Reprochons au langage trop de précocité et aux définitions l’imprécis et l'absence de rattachement au concret. Pourtant, dès le premier jour, aidé par des gens de tous horizons et particulièrement des « Compagnons », nous avons essaye de « faire vivre le réel ». L’affaire ne fut point aisée. A preuve, cette séance de la troisième commission qui prit fin vers l’aube du quatrième jour....